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QCM Gratuits

Prépa concours - Concours blancs

L’enfance maltraitée • Plan de type « causes-solutions » Constat. Plus de 6 ans après le sommet mondial pour les droits de l’enfant et l’adoption de la convention internationale, le nombre d’enfants maltraités ne cesse de croître dans le monde. La France n’échappe pas à cette terrible progression mise en évidence par les enquêtes de l’ODAS (Observatoire national de l’Action Sociale Décentralisée). Causes. La maltraitance des enfants est un problème complexe. Ce phénomène peut s’expliquer par un ensemble de facteurs : - la fragilité du couple moderne ; - la situation financière précaire de la famille ; - la démission parentale ; -une probable «hérédité» comportementale: l’enfant victime peut devenir parent bourreau. Il pose les limites et les conditions du travail social. Solutions. - Le dépistage par l’information. - L’écoute de l’enfant et de l’entourage. -L’accueil en maternité par un personnel spécialisé des mères « rejetantes » et la prise en charge en service pédiatrique de la relation parent-enfant par des professionnels formés. Conclusion. Pas de « haro » sur les parents mais une information largement diffusée, des contacts, la prévention, la protection, comme par exemple, la création des maisons vertes en 1978 par Françoise Dolto, lieux d’accueil et de parole où parents et enfants peuvent se retrouver.

Durée de l'exercice: dix minutes (réponses page222) Ce test est l'un des plus couramment utilisé en France. Il permet d'évaluer la capacité du candidat à raisonner dans l'abstrait. Ce test ressemble à première vue au jeu des dominos. De fait, il en conserve les règles de base. À savoir: •chaque domino est divisé en deux parties dont la valeur respective est comprise entre 0 et 6. Les deux moitiés d'un même domino peuvent avoir les mêmes valeurs; •lorsque les dominos se suivent dans un ordre croissant, la valeur qui suit le 6 est le O. À l'inverse, lorsque l'ordre est décroissant, la valeur qui suit le 0 est le6. Ces règles mises à part, la loi qui régit la progression des dominos est différente. Le candidat doit trouver cette logique pour en déduire les valeurs du domino vide.

La logique de l’ “ intrus ” (l’élément qui ne va pas avec les autres), est utilisée sur des supports aussi bien numériques que verbaux (mots, phrases...) ou figuratifs. Elle peut souvent donner matière à des tests de logique numérique. Il s’agit toujours de trouver une logique d’association entre tous les éléments proposés, sauf un (l’intrus). Par exemple, l’ensemble (2, 3, 4, 6, 8) est constitué de nombres pairs, sauf un : 3 est l’intrus.

10 QCM de logique en 5 minutes.



Plusieurs réponses peuvent parfois convenir.

Parmi les mots proposés, trouvez celui qui complète le mieux les analogies suivantes.

Pour cette épreuve, on vous demande de travailler mentalement. Si vous hésitez, choisissez la réponse qui vous semble être la meilleure et noircissez la lettre correspondante dans la grille de réponses.



Pour l’épreuve suivante, il est parfois nécessaire de poser des calculs. Utilisez une feuille de brouillon, puis noircissez la case qui correspond à la bonne réponse dans la grille de réponses.

Parmi les listes de mots suivants, l’un d’eux est à exclure en vertu d’une raison qu’il faut découvrir. Exemple : vache - chien - cheval - baleine - requin - lion • Réponse L’animal à exclure est le requin parce que c’est le seul qui n’est pas un mammifère.
Les tests classiques
Si le recours aux tests s’est à peu près généralisé depuis une quinzaine d’années, une évolution sensible est apparue dans le choix des outils de sélection.
Si les acquis scolaires sont en effet indispensables à l’assimilation de certaines nouvelles connaissances, la formation professionnelle met en évidence la nécessité d’autres facultés que la seule mémorisation et la seule restitution de savoirs. En effet, de nombreux savoir-faire et savoir-être exigent des qualités qui ne s’apprennent pas seulement dans les livres : Observer un patient, l’écouter, faire une synthèse pour soi ou pour un collègue, travailler en équipe, s’organiser, être bien coordonné... Pour tout cela avoir de bonnes notes à l’école ne suffit plus. Même en maths et en sciences comme certains le croient encore. Quel est l’enseignant en Institut de formation en soins infirmiers qui n’a pas connu, (et plus d’une fois !), des bachelières littéraires ou secrétaires devenir d’excellentes infirmières et à l’inverse de brillants bacheliers «S» ou «ES» échouer au cours de leur formation ou être incapables d’établir une relation satisfaisante.
Les premiers initiateurs des tests collectifs ont donc voulu compléter ou même remplacer les habituels examens de connaissances en biologie, français, mathématiques ou physique par des épreuves réputées sélectives et mesurant l’intelligence globale des candidats.
Mais après quelques années de passation, il s’est avéré que si ces outils permettaient effectivement de classer les candidats selon des résultats chiffrés, ils n’assuraient pas non plus une réussite ultérieure.
Fortement corrélés à l’efficience scolaire ces tests n’appréhendent en effet que certaines aptitudes du raisonnement abstrait et ne mesurent qu’une certaine forme de culture, somme toute des capacités peu différentes de celles mises en ½uvre dans les examens scolaires.
Paradoxalement, s’ils apportent un peu plus de neutralité et d’objectivité dans la méthode, ils sont même parfois plus éloignés et plus arbitraires que les épreuves scolaires qu’ils prétendaient pouvoir remplacer.
L’évolution actuelle est de remplacer progressivement l’utilisation traditionnelle mais peu critique, voire passive de tests connus et reconnus (couple traditionnel test logico-mathématique, test verbal) par d’autres outils plus spécifiques et du coup plus adaptés, mesurant des aptitudes utiles à la formation et à l’exercice professionnel : épreuves d’attention, d’observation, de mémorisation, d’organisation dans l’espace et dans le temps... définies par les équipes techniques et par les formateurs.
Ces groupes de réflexion se sont réunis aussi bien au niveau de chaque école, qu’aux niveaux départemental, régional et même national. Ce travail de longue haleine a ainsi permis de dresser un profil et une série de qualités tant intellectuelles que personnelles jugées indispensables.
On notera que, si en la matière les écoles d’aides-soignants et d’auxiliaires de puériculture ont dans l’ensemble commencé plus tard que les écoles d’infirmiers, elles sont aujourd’hui souvent plus avancées et plus savantes dans ce domaine.
Ainsi suivant cette progression nous verrons dans une première partie les principales épreuves d’intelligence générale puis dans une deuxième partie les nouveaux outils ou les outils actualisés.
Les tests dits « d'intelligence générale », logico-mathématiques et verbaux sont les plus utilisés.
Préparation au concours d’infirmière IFSI.
Voir aussi la catégorie "Concours
sanitaires & sociaux".

Ensemble des règles et des devoirs qui régissent la conduite de ceux qui exercent une profession. Déontologie médicale. Locution (1)Masquer les définitions code de déontologie Code de normes morales prévoyant des sanctions pour les manquements à ces normes. Code de déontologie d’une profession.







Les toxicomanies • Plan du type « bilan-perspectives » La toxicomanie est devenue une des principales préoccupations des sociétés occidentales concernant leur jeunesse. Pourtant connue depuis l’Antiquité et classée dans le registre des maladies mentales depuis le début du siècle, elle est apparue comme un véritable fléau dans les années 60 en même temps que le mouvement hippy. Des enjeux financiers colossaux montrent que la mafia et certains hommes politiques se sont fortement intéressés à ce commerce. Aujourd’hui encore, l’usage de substances toxiques est répandu et touche tous les milieux sociaux. Si les buts recherchés par les usagers sont parfois comparables, les moyens et les conséquences sont très différents. Il paraît donc utile et important de distinguer les produits et les réseaux pour mieux adapter les conduites à tenir. Bilan. On pourrait considérer que l’alcoolisme ou qu’une utilisation excessive de médicaments font partie des toxicomanies puisqu’ils constituent, conformément à leur définition, une « appétence anormale et prolongée pour des substances toxiques » dont les effets sédatifs ou euphorisants sont recherchés; cette recherche devient une habitude tyrannique qui conduit systématiquement à augmenter les doses. Distinguer conduit à poser le principe de la tolérance sociale. Celle-ci est liée à la culture et au système de valeurs. Dans certains groupes sociaux français, il est normal de s’enivrer à l’alcool et ailleurs, par exemple en Amérique latine, le mâchage continu de feuilles de coca est un usage ancestral. Le choix de la drogue et de ses effets est donc lié à la réaction de l’entourage et aux capacités de ce dernier à les accepter. De ce point de vue, il est utile de ne pas mélanger drogues dures et drogues douces. Les premières provoquent une rupture avec la réalité, des risques importants d’actes incontrôlés et une accoutumance plus forte. Mais si les secondes présentent apparemment moins de dangers, elles restent comme tous les autres produits des moyens artificiels de parvenir à des états psychologiques désirés. Souvent elles conduisent également à un désintérêt pour la réalité environnante et le même danger d’accoutumance. Perspectives. Les toxicomanies peuvent donc être interprétées comme l’expression d’un mal de vivre ou de difficultés psychologiques individuelles. Mais l’effet du groupe est essentiel. Simple mode ou phénomène d’entraînement, le recours aux stupéfiants est souvent le résultat d’une pression sociale. Ceux qui y résistent le moins bien sont souvent ceux qui ont le plus besoin de reconnaissance ; ceux dont les repères sont les moins sûrs et la personnalité la moins forte. L’histoire familiale et la socialisation sont donc essentielles dans la compréhension et dans la prise en charge des toxicomanes. L’action sanitaire doit toucher le système et pas seulement l’individu. La prévention apparaît comme un moyen d’action incontournable dans tous les milieux sociaux et quelle que soit la drogue à risque. L’attrait de l’interdit doit être pris en compte et remplacé par d’autres valeurs et envies plus attrayantes. La répression a également tout son sens pour combattre de façon déterminée et cohérente (notamment à un échelon planétaire) les commerçants de drogue. Conclusion. Ces conduites déviantes peuvent parfois être considérées comme des symptômes plus que comme des maladies, expression de difficultés psychologiques ou sociales qui touchent les plus réactifs ou les plus fragiles. Le traitement reste néanmoins délicat, long et souvent entaché de rechutes ; il doit nécessairement agir sur le milieu environnant.


Les habitudes alimentaires des Français • Plan du type « historique » Hier. A la révolution, le repas habituel des français était composé à 70 % de pain; le reste consistait essentiellement en châtaignes, légumes secs et abats. Aujourd’hui. La grande majorité des français mange à sa faim. Pourtant, l’apparition de nouveaux pauvres devient des plus préoccupantes, et ce n’est malheureusement que lorsque les grands froids arrivent que l’on en parle. D’autre part, beaucoup de progrès restent à faire pour ce qui est du menu. En effet les repas sont encore trop souvent déséquilibrés : trop de viande, de graisse et de sucre, trop d’alcool et des temps souvent courts. Les diététiciens ont également annoncé depuis plusieurs années l’intérêt de mieux répartir la quantité de nourriture au cours de la journée; actuellement les petits déjeuners sont insuffisants et à l’inverse le dîner trop copieux et trop tardif. Demain. Une évolution est néanmoins sensible. La recherche d’une meilleure image de soi et de son corps conduit de plus en plus de femmes et aussi d’hommes à revoir leurs habitudes et traditions culinaires. Conclusion. Même si la France sait exporter ses savoirs cuisiner elle sait également apprendre de ses voisins à mieux se porter.




MÉDECINE – Intoxication aiguë ou chronique provoquée par l’abus du tabac. MÉDECINE – Intoxication des non-fumeurs, par inhalation.






Discipline qui a pour objet d’étudier les problèmes moraux posés par la responsabilité des médecins et des biologistes dans leurs recherches.













A priori, nul besoin d’être un docteur en médecine ou un chirurgien émérite pour surmonter les QCM de santé. À moins que vous ne poursuiviez des études de médecine, auquel cas vous devrez vous préparer à des questions très pointues. Nous considérons ici les QCM proposés dans le cadre de concours et d’examens plus généraux.






Trouvez l'élément qui complète la série.


Pour chaque mot en majuscules, choisissez parmi les trois propositions le meilleur synonyme.

Aptitude numérique Ces tests ont comme objectif d'évaluer votre aptitude à résoudre des problèmes basés sur les connaissances mathématiques acquises. Au cours des tests d'aptitude numérique, vous aurez à effectuer des calculs simples. La méthode que vous allez appliquer pour y répondre avec rapidité fait appel à la maîtrise des opérations et connaissances de base. Ces exercices concernent le calcul mental, d'un pourcentage ou d'une TVA, des puissances et racines carrées, de temps et de distances, qui nécessitent la maîtrise des tables de multiplications, des fractions et des unités. Ce ne sont pas des opérations complexes qui vous sont demandées, ne vous crispez pas dès le début de l'épreuve surtout si vous pensez être depuis toujours « nul en maths » ! Découvrez au contraire les exercices avec enthousiasme et méthode. 1. Méthodologie L'entraînement aux tests d'aptitude numérique doit vous permettre de réviser vos connaissances, vous familiariser avec ce type de tests et comprendre la méthode à adopter. Cet entraînement renforcera votre confiance dans vos capacités à répondre valablement et efficacement à ces tests. Ces tests permettent aussi de juger de la vitesse avec laquelle vous allez pouvoir fournir un résultat valide en respectant le temps imposé. Nous vous conseillons de lire une première fois l'ensemble des exercices proposés et de résoudre ceux qui vous semblent plus faciles ou évidents. Puis relisez chaque exercice, avant de donner votre réponse, pour vous assurer d'une bonne compréhension de la question posée. Laissez pour la fin les exercices qui vous semblent plus complexes, vous y reviendrez ultérieurement si vous avez le temps. Lors de la résolution des exercices, ne pas faire plusieurs opérations en même temps, sous prétexte d'aller plus vite, c'est l'une des causes d'erreurs les plus importantes. Écoutez attentivement les consignes données par l'examinateur au début, puis concentrez-vous sur votre copie ! Enfin, chaque fois que cela est possible, nous vous conseillons de valider rapidement votre résultat sur votre brouillon.


Durée de l'exercice: vingt minutes. Ces tests sont très utilisés et apparaissent souvent dans les jeux de certaines revues et magazines. Ils se présentent sous la forme de séries de lettres, de mots ou de nombres que le candidat doit compléter. Leurs méthodes de résolution sont plus ou moins complexes, avec parfois une valeur abstraite accordée aux mots comme le nombre de lettres ou leur sens. La variété des exercices proposés est volontairement déconcertante. Ces tests font aussi bien appel à la logique qu'au sens de l'observation.

Ces exercices permettent d' évaluer la capacité du candidat à faire rapidement et mentalement des calculs assez simples. Il s'agit soit d'une suite de calcul mental, soit de problèmes mathématiques faciles tels que le calcul de pourcentage ou de règle de trois. Dans tous les exercices de calcul mental, cinq réponses sont données, une seule est juste.

Ce test, quoique assez ancien, retrouve ces dernières années un certain succès, car il fait appel à la fois à une forme de culture et à la compréhension et à la déduction. La consigne est simple : il faut trouver la phrase qui, parmi celles proposées, se rapproche le plus du proverbe. Il ne suffit donc pas de connaître le proverbe, il faut également le comprendre. Saisir son sens et comme la plupart des proverbes, sa morale ou sa philosophie. Si en revanche le proverbe n’est pas connu, il est possible soit à partir de son seul libellé, soit à partir des autres affirmations d’en déduire le sens. Ainsi certains candidats procéderont par identification et d’autres par élimination-déduction. Ce test d’après les statistiques observées peut être très sélectif. Reste aux utilisateurs de bien adapter leur barème de correction-notation : on peut en effet décider de faire varier la pénalisation d’erreur selon le niveau des candidats et moduler ces erreurs selon la mauvaise réponse choisie. Vous trouverez ci-après des proverbes (en caractère gras) suivis de quatre phrases. Vous mettrez une croix (et une seule) devant la phrase dont le sens se rapproche le plus du proverbe.





Des cartes à jouer sont disposées selon une certaine logique, puis l’une d’elles est retournée. Le but de l’exercice est de trouver la logique de l’ensemble pour déterminer la valeur et la couleur de la carte retournée. (Précisons que « couleur » ici signifie trèfle, carreau, coeur ou pique). Comment s’y prendre ? Le test, directement inspiré de celui des dominos, utilise des mécanismes semblables, avec des variantes qui s’imposent du fait des différences entre cartes et dominos. Comme les cartes se prêtent moins bien à la transposition dans des tests, les questions sont généralement plus faciles et le temps imparti plus court (dans certains tests, environ 40 secondes par question). Pour chaque question, il faut donc trouver la valeur mais aussi la couleur d’une carte. Dans la très grande majorité des cas, les deux sont indépendants l’un de l’autre et il est recommandé de chercher d’abord la valeur de la carte et dans un second temps, sa couleur. Parfois – et cela constitue un piège – la couleur gouverne la valeur. Nous retrouvons les trois catégories déjà établies avec les dominos. ● Les séries, avec les mécanismes déjà étudié. Précisons, cependant que dans les tests, les cartes Valet, Dame et Roi ne sont pas utilisées et les séries en boucles reprennent à As après le 10. ● Les répartitions, peu fréquentes, utilisent généralement un raisonnement semblable à celui des « Matrices ». ● Les opérations constituent la catégorie la plus courante. On y retrouve régulièrement des dispositions où il faut comparer la somme, la différence ou la moyenne, de valeurs dans des colonnes ou rangées successives.



Les tests de raisonnement logique peuvent être développés sur plusieurs types de support ; des nombres, des suites de mots, des textes à lire et même des visuels à observer avec attention ; le principe du test reste le même : il sert à évaluer vos aptitudes à la méthode et à la logique. Dans la pratique professionnelle soignante, faire preuve de bon sens et de logique peut aider à comprendre plus rapidement la situation. Les tests de raisonnement s'appuient sur cette capacité. Afin de pouvoir les réussir plus facilement, vous devez trouver en vous-même la spontanéité et le plaisir que vous avez lorsque dans la vie courante, vous devez statuer sur une situation (départ en vacances, choix de matériel, projets) rapidement mais en ayant comparé tous les avantages et les inconvénients. Ces opérations mentales sont rapides, elles aboutissent à des décisions dites sensées.


Les tests de raisonnement sont destinés à évaluer l'intelligence dans sa «forme fluide ». Autrement dit, l'aptitude à passer rapidement d'un raisonnement à un autre, à résoudre des problèmes de nature très différente. Les exercices se présentent toujours comme des séries logiques de nombres ou de lettres, des éléments verbaux à souligner ou à compléter. Le R 80 et le R 85 (plus récent et d'un niveau supérieur) sont les tests de raisonnement les plus utilisés. 14 % des services de recrutement y ont recours. Le test se déroule en deux étapes. L'opérateur vous laisse d'abord le temps de vous familiariser avec le type d'exercices proposés. Ensuite, il vous demande de résoudre 40 problèmes en 20 minutes (durée chronométrée). Toutes les réponses (exactes ou fausses) sont notées 1 point indépendamment de la difficulté du problème et comptabilisées séparément. Pendant le test, l'opérateur prend note de vos méthodes de travail : si vous griffonnez, si vous répondez directement, si vous bloquez devant une difficulté, etc. L'appréciation des résultats prend en compte votre score et votre méthode de travail.















Il s'agit là de trouver un « mot » (en fait un assemblage de lettres, qui peut donc n'avoir aucune signification), par déduction logique à partir des informations données. On procède donc par élimination. Pour votre commodité, nous vous conseillons d'écrire chaque « mot » proposé sur une ligne différente, en conservant l'alignement des colonnes.



Nous présentons sous cette rubrique diverses formes d’épreuves très répandues. Comme indiqué plus haut, nous allons nous intéresser aux manipulations verbales de 2 façons. En premier lieu, nous présentons des entraînements axés sur la proximité ou l’éloignement de sens de mots (synonymies et antonymies). Les tests de ce secteur sont généralement conçus autour d’un mot qui est associé à diverses possibilités de réponse, dont une seule est bonne (par exemple, trouver un synonyme de généreux parmi bon, gai, optimiste, facile). En second lieu, nous testerons une autre dimension, celle de l’aisance, ou de la fluidité verbale, correspondant à des épreuves où le sujet doit trouver lui-même les modalités de réponse, plutôt que les choisir parmi un ensemble proposé (par exemple, trouver 4 mots de 3 lettres commençant par A). Les consignes de ce genre de tests sont très simples. Les temps de réponse sont souvent assez brefs.

Épreuves de vocabulaire Ces épreuves se présentent de manières diverses, mais toutes ont le même objectif, mesurer l’acquisition d’un certain vocabulaire correspondant théoriquement à un niveau scolaire : classe de troisième pour les études d’auxiliaires de puériculture ou d’aides-soignants, classe de terminale pour les élèves infirmiers. Mais cette correspondance est parfois arbitraire et varie d’un sujet à l’autre, d’un milieu social à l’autre, voire d’une région à l’autre. Néanmoins ce type d’épreuve est apprécié car il est généralement sélectif et répond au souci ou au désir d’avoir de futurs professionnels qui sachent parfaitement communiquer aussi bien oralement que par écrit.


Répondez aux questions suivantes :

Répondez aux questions suivantes : une seule réponse possible...


Voici une série de suites numériques et alphabétiques à compléter. Chaque point d'interrogation correspond à un élément, soit une lettre, soit un chiffre.







Il s’agit de trouver la logique qui unit des couples de mots. Cette logique est donnée par le sens et par la position des mots. A l’aide de quatre propositions de couples, le candidat doit trouver le couple qui satisfait à 3 exigences : — le premier mot du couple doit avoir un lien avec le deuxième mot de la phrase (en capitales dans la première partie), — le deuxième mot du couple doit avoir un lien avec le troisième mot de la phrase (en capitales dans la deuxième partie), — ces liens doivent être identiques, ou être de même nature, ou suivre la même logique. Consigne : Vous devez trouver le premier et le dernier mot qui complètent chaque phrase. Pour cela vous choisirez un couple parmi les 4 proposés. Exemple : est pour feu ce que froid est pour a) flamme - hiver b) enfer - neige c) chaud - glace d) bois - vent Le lien commun aux deux associations de mots est celui de la température avec un élément naturel. Seule la proposition c répond à cette logique : — le feu est synonyme de chaleur, — la glace est synonyme de froid Toutes les autres propositions suivent des logiques différentes et indépendantes. Aucune n’est applicable en même temps aux 2 parties de phrase.






Ci-contre, vous trouverez un ensemble de figures et vous répondrez aux questions posées. On attend de vous que vous comptiez de manière systématique en classant des informations. Pour chaque réponse, vous noircirez la case correspondante dans la grille de réponses.



Ami est à ennemi ce que noir est à blanc. Nous sommes ici face à un raisonnement analogique ; c’est-à-dire que l’on établit un lien logique entre deux groupes de deux termes qui sont dans un même rapport. Ici, le rapport est un rapport d’opposition. En effet, ami et ennemi sont deux contraires comme le sont noir et blanc. Exemple : ... est à infirmière ce qu’auxiliaire de puériculture est à... A. Agent de service hospitalier/médecin B. Kinésithérapeute/puéricultrice C. Aide-soignante/puéricultrice D. Médecin/professeur E. Malade/bébé • Réponse C parce que l’aide-soignante est la subalterne de l’infirmière au même titre que l’auxiliaire de puériculture est la subalterne de la puéricultrice. Dans les épreuves suivantes, vous choisirez de la même façon le couple de mots qui correspond le mieux et vous noircirez la lettre correspondante dans la grille de réponses.

Pour cette épreuve, on vous demande de travailler mentalement. Si vous hésitez, choisissez la réponse qui vous semble être la meilleure et noircissez la lettre correspondante.




Voici une série de suites numériques et alphabétiques à compléter. Chaque point d'interrogation correspond à un élément, soit une lettre, soit un chiffre.




