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33 questions de Culture Générale...

Prépa concours - Concours blancs




En restant dans le même registre d'analogies verbales, l'exercice qui va suivre ne comporte que des mots : - un couple exemple ; - un choix dans la même analogie à partir de trois propositions données. (7 minutes) ✓ Exemple : plaine - montagne A. haut - petit B. bas - haut C. herbe - neige C'est le couple B. qui est lié par la même relation que plaine et montagne.

L’enfance maltraitée • Plan de type « causes-solutions » Constat. Plus de 6 ans après le sommet mondial pour les droits de l’enfant et l’adoption de la convention internationale, le nombre d’enfants maltraités ne cesse de croître dans le monde. La France n’échappe pas à cette terrible progression mise en évidence par les enquêtes de l’ODAS (Observatoire national de l’Action Sociale Décentralisée). Causes. La maltraitance des enfants est un problème complexe. Ce phénomène peut s’expliquer par un ensemble de facteurs : - la fragilité du couple moderne ; - la situation financière précaire de la famille ; - la démission parentale ; -une probable «hérédité» comportementale: l’enfant victime peut devenir parent bourreau. Il pose les limites et les conditions du travail social. Solutions. - Le dépistage par l’information. - L’écoute de l’enfant et de l’entourage. -L’accueil en maternité par un personnel spécialisé des mères « rejetantes » et la prise en charge en service pédiatrique de la relation parent-enfant par des professionnels formés. Conclusion. Pas de « haro » sur les parents mais une information largement diffusée, des contacts, la prévention, la protection, comme par exemple, la création des maisons vertes en 1978 par Françoise Dolto, lieux d’accueil et de parole où parents et enfants peuvent se retrouver.
Les tests classiques
Si le recours aux tests s’est à peu près généralisé depuis une quinzaine d’années, une évolution sensible est apparue dans le choix des outils de sélection.
Si les acquis scolaires sont en effet indispensables à l’assimilation de certaines nouvelles connaissances, la formation professionnelle met en évidence la nécessité d’autres facultés que la seule mémorisation et la seule restitution de savoirs. En effet, de nombreux savoir-faire et savoir-être exigent des qualités qui ne s’apprennent pas seulement dans les livres : Observer un patient, l’écouter, faire une synthèse pour soi ou pour un collègue, travailler en équipe, s’organiser, être bien coordonné... Pour tout cela avoir de bonnes notes à l’école ne suffit plus. Même en maths et en sciences comme certains le croient encore. Quel est l’enseignant en Institut de formation en soins infirmiers qui n’a pas connu, (et plus d’une fois !), des bachelières littéraires ou secrétaires devenir d’excellentes infirmières et à l’inverse de brillants bacheliers «S» ou «ES» échouer au cours de leur formation ou être incapables d’établir une relation satisfaisante.
Les premiers initiateurs des tests collectifs ont donc voulu compléter ou même remplacer les habituels examens de connaissances en biologie, français, mathématiques ou physique par des épreuves réputées sélectives et mesurant l’intelligence globale des candidats.
Mais après quelques années de passation, il s’est avéré que si ces outils permettaient effectivement de classer les candidats selon des résultats chiffrés, ils n’assuraient pas non plus une réussite ultérieure.
Fortement corrélés à l’efficience scolaire ces tests n’appréhendent en effet que certaines aptitudes du raisonnement abstrait et ne mesurent qu’une certaine forme de culture, somme toute des capacités peu différentes de celles mises en ½uvre dans les examens scolaires.
Paradoxalement, s’ils apportent un peu plus de neutralité et d’objectivité dans la méthode, ils sont même parfois plus éloignés et plus arbitraires que les épreuves scolaires qu’ils prétendaient pouvoir remplacer.
L’évolution actuelle est de remplacer progressivement l’utilisation traditionnelle mais peu critique, voire passive de tests connus et reconnus (couple traditionnel test logico-mathématique, test verbal) par d’autres outils plus spécifiques et du coup plus adaptés, mesurant des aptitudes utiles à la formation et à l’exercice professionnel : épreuves d’attention, d’observation, de mémorisation, d’organisation dans l’espace et dans le temps... définies par les équipes techniques et par les formateurs.
Ces groupes de réflexion se sont réunis aussi bien au niveau de chaque école, qu’aux niveaux départemental, régional et même national. Ce travail de longue haleine a ainsi permis de dresser un profil et une série de qualités tant intellectuelles que personnelles jugées indispensables.
On notera que, si en la matière les écoles d’aides-soignants et d’auxiliaires de puériculture ont dans l’ensemble commencé plus tard que les écoles d’infirmiers, elles sont aujourd’hui souvent plus avancées et plus savantes dans ce domaine.
Ainsi suivant cette progression nous verrons dans une première partie les principales épreuves d’intelligence générale puis dans une deuxième partie les nouveaux outils ou les outils actualisés.
Les tests dits « d'intelligence générale », logico-mathématiques et verbaux sont les plus utilisés.
Préparation au concours d’infirmière IFSI.
Voir aussi la catégorie "Concours
sanitaires & sociaux".









L’urbanisation • Plan du type « passé-avenir » Le machinisme et l’industrialisation ont déclenché depuis trois siècles un mouvement de population qui semble inexorable. La terre et l’agriculture devenues surproductrices ont besoin de moins de main-d’½uvre et les ruraux sont obligés de partir vers les villes dans l’espoir de trouver un travail. Cette urbanisation s’accélère et les cités s’étendent de plus en plus, à tel point qu’aujourd’hui un Français sur trois vit en banlieue. La vie rurale, qui a suscité pendant une époque une certaine dérision de la part des urbains, est aujourd’hui considérée différemment. Passé. L’urbanisation a modifié les styles de vie. Si elle offre certains avantages comme les loisirs, la culture, l’enseignement, la santé, les magasins, les services..., la ville modifie aussi les habitudes familiales (famille nucléaire), les emplois (de plus en plus tertiaires) et le logement (jugé d’abord plus confortable qu’à la campagne, puis répondant de moins en moins aux exigences actuelles). Paradoxalement, les transports, s’ils ont permis de rapprocher les hommes, sont aujourd’hui largement saturés, polluants et insuffisants. Si à une époque, les cités étaient synonymes de salubrité et de confort moderne, elles sont de nos jours assimilées aux problèmes de bruit, aux conflits de voisinage, à l’insécurité et à l’anonymat. Les lumières de la ville n’attirent plus comme avant et la vie à la campagne connaît un regain de succès. Avenir. La proximité de la nature permet de vivre plus sainement, de manière moins stressée et plus simple. La plupart des communes ont réussi à s’équiper et on trouve aujourd’hui beaucoup des avantages que présentait autrefois la vie urbaine : équipements collectifs, médecins, grandes surfaces, vie associative. Restent quelques domaines où les inégalités sont encore visibles, culture, université, administration... mais peu à peu atténuées par l’arrivée des technologies modernes de communication : télé-enseignement, télétravail, internet, multimédia, vidéoconférences, satellite... Cette attirance est d’autant plus justifiée que les coûts d’installation sont largement inférieurs à ceux des villes, et la campagne offre paradoxalement un espace et une qualité de vie largement supérieurs. Conclusion. Si jusqu’à un passé récent, l’urbanisation semblait être inéluctable et irréversible, la recherche de qualité de vie, l’apport de nouvelles techniques de communication et le télétravail amènent de plus en plus de citadins à la campagne.














Une analogie est une ressemblance entre deux ou plusieurs objets de pensée. Les tests d'analogies évaluent vos capacités de logique verbale. > Complétez les phrases avec le mot qui vous semble le mieux convenir.

Pour chaque question, il vous est donné quatre propositions A, B, C et D. Une, deux ou trois propositions peuvent être exactes. Répondez en entourant la ou les propositions exactes.


Les conditions de l'épreuve L'épreuve des tests psychotechniques dure 1 h 30. Elle est notée sur 20 points, et une note inférieure à 7 sur 20 est éliminatoire. Cette épreuve a pour objet d'évaluer les capacités suivantes du candidat : - observation et attention ; - aptitude numérique ; -aptitude verbale; -organisation ; -raisonnement logique. Les exigences du jury Ce sont avant tout des exigences de temps : les épreuves sont chronométrées. Nous vous proposons dans cet ouvrage les différents types de tests que vous pourrez rencontrer dans cette épreuve. Vous devez vous conformer précisément aux instructions et ne pas tourner la page avant d'en avoir reçu l'ordre de l'examinateur. Lisez très attentivement les consignes du test et assurez-vous que vous avez bien compris ce que l'on attend de vous. Le jury vous pardonnera davantage de n'avoir pas terminé de répondre que d'avoir mal compris la question. Appliquez-vous à travailler avec exactitude. Les instruments de travail - Cet ouvrage : nous vous présentons des exemples de tests identiques à ceux proposés au concours, avec leurs corrigés. -Pour approfondir l'approche de ces épreuves, vous pouvez vous reporter à l'ouvrage suivant : V. Sibler, Préparation méthodique aux tests psychotechniques, Paris, Lamarre, 2001. - Pour mieux comprendre les principes des tests psychotechniques, vous pouvez lire aussi: J. Rembert, Tests psychotechniques, Paris, Lamarre, 2001. A. Combres, 1 000 tests psychotechniques corrigés, Paris, Lamarre, 2003. A. Combres, Tests psychotechniques raisonnement numérique logique, Paris, Lamarre, 2003. Le jour de l'épreuve Les tests psychotechniques effraient souvent les candidats car ils ne les connaissent pas. Ce ne sera pas votre cas. Vous pourrez donc aborder cette épreuve sans inquiétude, muni de votre crayon à papier et de votre gomme, et cocher les bonnes réponses dans les cases prévues à cet effet. Votre montre vous sera d'une aide précieuse. Comme pour l'épreuve de culture générale, ne vous affolez pas, la réussite à cette épreuve dépend essentiellement de votre calme et de votre concentration.










Ensemble des règles et des devoirs qui régissent la conduite de ceux qui exercent une profession. Déontologie médicale. Locution (1)Masquer les définitions code de déontologie Code de normes morales prévoyant des sanctions pour les manquements à ces normes. Code de déontologie d’une profession.







Les toxicomanies • Plan du type « bilan-perspectives » La toxicomanie est devenue une des principales préoccupations des sociétés occidentales concernant leur jeunesse. Pourtant connue depuis l’Antiquité et classée dans le registre des maladies mentales depuis le début du siècle, elle est apparue comme un véritable fléau dans les années 60 en même temps que le mouvement hippy. Des enjeux financiers colossaux montrent que la mafia et certains hommes politiques se sont fortement intéressés à ce commerce. Aujourd’hui encore, l’usage de substances toxiques est répandu et touche tous les milieux sociaux. Si les buts recherchés par les usagers sont parfois comparables, les moyens et les conséquences sont très différents. Il paraît donc utile et important de distinguer les produits et les réseaux pour mieux adapter les conduites à tenir. Bilan. On pourrait considérer que l’alcoolisme ou qu’une utilisation excessive de médicaments font partie des toxicomanies puisqu’ils constituent, conformément à leur définition, une « appétence anormale et prolongée pour des substances toxiques » dont les effets sédatifs ou euphorisants sont recherchés; cette recherche devient une habitude tyrannique qui conduit systématiquement à augmenter les doses. Distinguer conduit à poser le principe de la tolérance sociale. Celle-ci est liée à la culture et au système de valeurs. Dans certains groupes sociaux français, il est normal de s’enivrer à l’alcool et ailleurs, par exemple en Amérique latine, le mâchage continu de feuilles de coca est un usage ancestral. Le choix de la drogue et de ses effets est donc lié à la réaction de l’entourage et aux capacités de ce dernier à les accepter. De ce point de vue, il est utile de ne pas mélanger drogues dures et drogues douces. Les premières provoquent une rupture avec la réalité, des risques importants d’actes incontrôlés et une accoutumance plus forte. Mais si les secondes présentent apparemment moins de dangers, elles restent comme tous les autres produits des moyens artificiels de parvenir à des états psychologiques désirés. Souvent elles conduisent également à un désintérêt pour la réalité environnante et le même danger d’accoutumance. Perspectives. Les toxicomanies peuvent donc être interprétées comme l’expression d’un mal de vivre ou de difficultés psychologiques individuelles. Mais l’effet du groupe est essentiel. Simple mode ou phénomène d’entraînement, le recours aux stupéfiants est souvent le résultat d’une pression sociale. Ceux qui y résistent le moins bien sont souvent ceux qui ont le plus besoin de reconnaissance ; ceux dont les repères sont les moins sûrs et la personnalité la moins forte. L’histoire familiale et la socialisation sont donc essentielles dans la compréhension et dans la prise en charge des toxicomanes. L’action sanitaire doit toucher le système et pas seulement l’individu. La prévention apparaît comme un moyen d’action incontournable dans tous les milieux sociaux et quelle que soit la drogue à risque. L’attrait de l’interdit doit être pris en compte et remplacé par d’autres valeurs et envies plus attrayantes. La répression a également tout son sens pour combattre de façon déterminée et cohérente (notamment à un échelon planétaire) les commerçants de drogue. Conclusion. Ces conduites déviantes peuvent parfois être considérées comme des symptômes plus que comme des maladies, expression de difficultés psychologiques ou sociales qui touchent les plus réactifs ou les plus fragiles. Le traitement reste néanmoins délicat, long et souvent entaché de rechutes ; il doit nécessairement agir sur le milieu environnant.


Les habitudes alimentaires des Français • Plan du type « historique » Hier. A la révolution, le repas habituel des français était composé à 70 % de pain; le reste consistait essentiellement en châtaignes, légumes secs et abats. Aujourd’hui. La grande majorité des français mange à sa faim. Pourtant, l’apparition de nouveaux pauvres devient des plus préoccupantes, et ce n’est malheureusement que lorsque les grands froids arrivent que l’on en parle. D’autre part, beaucoup de progrès restent à faire pour ce qui est du menu. En effet les repas sont encore trop souvent déséquilibrés : trop de viande, de graisse et de sucre, trop d’alcool et des temps souvent courts. Les diététiciens ont également annoncé depuis plusieurs années l’intérêt de mieux répartir la quantité de nourriture au cours de la journée; actuellement les petits déjeuners sont insuffisants et à l’inverse le dîner trop copieux et trop tardif. Demain. Une évolution est néanmoins sensible. La recherche d’une meilleure image de soi et de son corps conduit de plus en plus de femmes et aussi d’hommes à revoir leurs habitudes et traditions culinaires. Conclusion. Même si la France sait exporter ses savoirs cuisiner elle sait également apprendre de ses voisins à mieux se porter.




MÉDECINE – Intoxication aiguë ou chronique provoquée par l’abus du tabac. MÉDECINE – Intoxication des non-fumeurs, par inhalation.






Discipline qui a pour objet d’étudier les problèmes moraux posés par la responsabilité des médecins et des biologistes dans leurs recherches.













A priori, nul besoin d’être un docteur en médecine ou un chirurgien émérite pour surmonter les QCM de santé. À moins que vous ne poursuiviez des études de médecine, auquel cas vous devrez vous préparer à des questions très pointues. Nous considérons ici les QCM proposés dans le cadre de concours et d’examens plus généraux.




