IFSI
Prépa concours - Concours blancs




15 qcm en 20 minutes.

Voici onze questions relatives au tableau ci-dessous. Faites vos calculs par écrit. À l'occasion d'une enquête, on a demandé à 245 personnes si elles étaient satisfaites ou non du livre qu'elles lisaient.




Les analogies sont des mots dont les sens respectifs sont liés par une relation. Dans les analogies qui suivent, une phrase est proposée. Dans cette phrase, deux blancs sont à remplacer par un couple de mots. À vous de choisir le bon couple. Les deux analogies comprises dans la phrase sont liées par des points communs : nature grammaticale identique (noms, adjectifs, etc.), origine, matière, outils, etc. ✓ Exemple : ... est à oiseau ce que poil est à ... 1. Vol... marche 2. Plume ...chien 3. Nid ... niche C'est bien évidemment le couple 2 qui convient.

Répondez correctement aux questions suivantes.




Le chômage • Plan du type « problème-solutions » Situation. Quoiqu’ancien le chômage s’est considérablement accru durant les vingt dernières années pour devenir le mal le plus redouté des Français selon les sondages. 12 % des actifs sont aujourd’hui au chômage. Problème. Si le soignant peut constater les ravages provoqués par le chômage sur le fonctionnement psychologique et sur le climat familial, il ne doit pas ignorer non plus quelques données économiques. Il est dû essentiellement soit à une baisse du besoin de main d’½uvre, soit à une inadéquation entre offre et demande d’emploi (conjoncturel ou structurel). Il est aggravé par la concurrence internationale. Solutions. L’action des pouvoirs publics s’orientent essentiellement dans trois domaines : la formation, l’aide aux entreprises et la solidarité. La formation concerne avant tout les jeunes qui ne doivent plus sortir de notre système scolaire sans qualification; les réorientations et la réinsertion s’accompagnent également d’une nécessaire formation pour adultes. L’allégement des charges sociales versées par les entreprises est aussi une mesure importante visant soit à freiner le licenciement soit à favoriser l’embauche. La solidarité renforce la cohésion de notre société qui risque sans ce ciment de voir les écarts entre individus s’accentuer, tant pour la richesse que pour les droits. Elle se traduit concrètement par des actions caritatives bénévoles et aussi par des prélèvements sur les revenus des actifs. Conclusion. Cependant les différentes politiques menées depuis une vingtaine d’années conduisent les économistes à avancer l’idée d’un chômage inéluctable pour l’avenir et de la nécessité d’un véritable partage du travail. Actuellement des médecins sont au chômage. L’ensemble des autres soignants est-il encore à l’abri de ce mal. Peut-on songer à la création de nouveaux emplois dans ce secteur? Le débat est ouvert...



Plusieurs réponses peuvent parfois convenir.


Trouvez la réponse qui suit logiquement chacune des suites de nombres proposées.

Comme vous avez pu le voir, les logiques mises en ½uvre sont de même type que dans l’épreuve précédente, mais moins immédiatement repérables. Identifiez les questions sur lesquelles vous avez eu plus de difficulté. Vous êtes-vous servi des modalités de réponse proposées pour arriver à répondre par élimination ? Si non, retraitez les questions auxquelles vous n’avez pas répondu en fonction de cela. Si vous avez tout trouvé, bravo. Mais consultez tout de même les réponses commentées...


Quel est le bon synonyme du mot souligné ?





20 questions sur 40 points Certaines questions appellent plusieurs réponses. Une réponse erronée ou une non-réponse peut entraîner la note 0 ou une note négative. Le nombre de points attribués figure à la fin de chaque énoncé. Toute calculatrice est interdite.
Les tests classiques
Si le recours aux tests s’est à peu près généralisé depuis une quinzaine d’années, une évolution sensible est apparue dans le choix des outils de sélection.
Si les acquis scolaires sont en effet indispensables à l’assimilation de certaines nouvelles connaissances, la formation professionnelle met en évidence la nécessité d’autres facultés que la seule mémorisation et la seule restitution de savoirs. En effet, de nombreux savoir-faire et savoir-être exigent des qualités qui ne s’apprennent pas seulement dans les livres : Observer un patient, l’écouter, faire une synthèse pour soi ou pour un collègue, travailler en équipe, s’organiser, être bien coordonné... Pour tout cela avoir de bonnes notes à l’école ne suffit plus. Même en maths et en sciences comme certains le croient encore. Quel est l’enseignant en Institut de formation en soins infirmiers qui n’a pas connu, (et plus d’une fois !), des bachelières littéraires ou secrétaires devenir d’excellentes infirmières et à l’inverse de brillants bacheliers «S» ou «ES» échouer au cours de leur formation ou être incapables d’établir une relation satisfaisante.
Les premiers initiateurs des tests collectifs ont donc voulu compléter ou même remplacer les habituels examens de connaissances en biologie, français, mathématiques ou physique par des épreuves réputées sélectives et mesurant l’intelligence globale des candidats.
Mais après quelques années de passation, il s’est avéré que si ces outils permettaient effectivement de classer les candidats selon des résultats chiffrés, ils n’assuraient pas non plus une réussite ultérieure.
Fortement corrélés à l’efficience scolaire ces tests n’appréhendent en effet que certaines aptitudes du raisonnement abstrait et ne mesurent qu’une certaine forme de culture, somme toute des capacités peu différentes de celles mises en ½uvre dans les examens scolaires.
Paradoxalement, s’ils apportent un peu plus de neutralité et d’objectivité dans la méthode, ils sont même parfois plus éloignés et plus arbitraires que les épreuves scolaires qu’ils prétendaient pouvoir remplacer.
L’évolution actuelle est de remplacer progressivement l’utilisation traditionnelle mais peu critique, voire passive de tests connus et reconnus (couple traditionnel test logico-mathématique, test verbal) par d’autres outils plus spécifiques et du coup plus adaptés, mesurant des aptitudes utiles à la formation et à l’exercice professionnel : épreuves d’attention, d’observation, de mémorisation, d’organisation dans l’espace et dans le temps... définies par les équipes techniques et par les formateurs.
Ces groupes de réflexion se sont réunis aussi bien au niveau de chaque école, qu’aux niveaux départemental, régional et même national. Ce travail de longue haleine a ainsi permis de dresser un profil et une série de qualités tant intellectuelles que personnelles jugées indispensables.
On notera que, si en la matière les écoles d’aides-soignants et d’auxiliaires de puériculture ont dans l’ensemble commencé plus tard que les écoles d’infirmiers, elles sont aujourd’hui souvent plus avancées et plus savantes dans ce domaine.
Ainsi suivant cette progression nous verrons dans une première partie les principales épreuves d’intelligence générale puis dans une deuxième partie les nouveaux outils ou les outils actualisés.
Les tests dits « d'intelligence générale », logico-mathématiques et verbaux sont les plus utilisés.
Préparation au concours d’infirmière IFSI.
Voir aussi la catégorie "Concours
sanitaires & sociaux".

Histoire (concours Fonction publique) - 1/5














La prévention judiciaire • Plan de type « situation-conséquences-solutions » Situation. En France, les maisons d’arrêt reçoivent prévenus et condamnés dans des établissements surchargés. La capacité du parc pénitentiaire est nettement inférieure au nombre de détenus. Le taux d’occupation dépasse souvent les deux cents pour cent : Béziers 252 %, Fontenay-le-Comte 233 %, Laval 231 %... Or, la situation du prévenu relève de l’article 9 de la Déclaration des droits de l’homme, lequel est inscrit dans l’ordre constitutionnel de la justice et qui stipule : «chacun a droit au respect de la présomption d’innocence». «C’est à l’accusation d’apporter la preuve de sa culpabilité, et le doute doit toujours profiter au suspect. » «Aussi longtemps qu’un jugement n’est pas intervenu, le suspect doit être considéré comme innocent, même s’il existe contre lui des indices francs et concordants. » C’est donc pour un délai plus ou moins long que le prévenu est maintenu en prison dans des conditions déplorables. Conséquences. Outre le coût important de l’administration pénitentiaire, près de 7 milliards en 1997, le prévenu, lorsqu’il est jeune, est exposé à la promiscuité néfaste d’individus condamnés à des peines importantes et parfois multirécidivistes (délits graves, crimes). Il risque une contamination d’autant plus dangereuse qu’il est jeune, car il peut être tenté de copier un « dur» qu’il admire et reproduire des méfaits dès qu’il recouvrera la liberté. Sa situation de détenu le renforcera dans son autoconviction d’être victime du système social et judiciaire. Solutions. — Accueillir séparément prévenus et condamnés. — Diminuer considérablement le temps de détention en accélérant enquêtes et preuves nécessaires au jugement, afin de désengorger les prisons et d’abaisser le coût de l’administration pénitentiaire. — Recourir davantage aux travaux d’intérêt général. Conclusion. Elle est contenue dans les solutions, à savoir que les prévenus doivent bénéficier d’un traitement nettement différencié de celui des détenus condamnés.












Le travail des femmes • Plan du type « évolution-limites » Malgré des différences encore sensibles entre milieux géographiques, sociaux et culturels, le travail des femmes tend à augmenter partout et à se généraliser. Cette évolution vers plus d’autonomie conduit les femmes à affirmer légitimement leur droit à plus d’égalité avec les hommes. Si dans certains domaines on peut parler de nouveau statut, à l’inverse, dans d’autres, des progrès sont encore à accomplir. Evolution. Vers une reconnaissance. Pendant les années de guerre et en l’absence d’hommes, les femmes ont prouvé leur capacité à maintenir une activité économique nationale. Occupant tous les postes jusque-là réservés aux hommes, elles ont prouvé leur savoir-faire et leurs possibilités. Ce constat a amené une prise de conscience qui a débouché d’abord sur le droit de vote (1945) puis sur une participation des femmes de plus en plus active à la vie publique et à la vie politique. Responsabilités associatives et mandats électifs n’ont cessé de croître. Accédant progressivement à la même scolarité que les garçons, et réussissant aussi bien sinon mieux qu’eux, les femmes exercent des métiers de plus en plus variés. Magistrats, médecins, chefs d’entreprises ou conductrices d’autobus, les femmes affirment leurs compétences et font valoir leurs droits. Elles demandent l’égalité des chances et des carrières. Concernant la vie familiale, devenant de plus en plus autonomes, elles demandent le divorce plus souvent que les hommes et vivent davantage en familles monoparentales. Limites. Mais cette évolution n’est pas toujours profitable aux femmes. Statistiquement, les femmes sont plus touchées par le chômage, car elles sont globalement encore aujourd’hui moins qualifiées que les hommes. Le temps partiel typiquement féminin leur permet en partie de concilier vie professionnelle et vie familiale mais les écarts de salaires restent réels et souvent injustifiés. Sur le plan familial, les femmes se voient encore largement attribuer les tâches domestiques (90 % du lavage, du repassage, de la couture ou du nettoyage). Ces prestations plutôt dévalorisées et effectuées gratuitement représentent l’équivalent de notre produit intérieur brut. Elles représentent la plupart du temps une double journée de travail. Cette répartition est tacite. La femme est également placée au centre du foyer et garante de sa cohésion. Elle choisit de plus en plus sa maternité et se voit confier très largement le droit de garde en cas de divorce. Mais dans ce dernier cas encore son niveau de vie baisse aussi très souvent. Conclusion. Le poids de l’éducation et de la culture n’ont pas encore permis aux femmes qui travaillent chez elles ou à l’extérieur d’obtenir les mêmes droits que les hommes. L’apprentissage précoce des rôles selon le sexe et leur intériorisation durable a été remis en question dans les années soixante-dix par le courant féministe. Près de trente ans plus tard, de nombreuses différences subsistent.









Plusieurs dominos sont installés selon une certaine méthode et sur un des dominos, les points ont été effacés. Le but de l’exercice est de trouver la logique de l’ensemble pour déterminer le nombre de points qui doit s’inscrire logiquement dans chaque moitié de ce domino. Une même consigne pour toutes ces questions : combien de points doit-il y avoir dans chaque moitié du dernier domino ? Donnez votre réponse dans les cases grisées à côté en notant un chiffre dans chaque moitié. Pour indiquer une case sans points, mettez 0.






La « matrice » est une grille divisée en 9 cases, où 8 d’entre elles contiennent des figures graphiques disposées selon une logique précise. Il faut découvrir quelle est cette logique pour choisir, ensuite, parmi plusieurs propositions, celle qui peut s’inscrire dans la case vide. Cette démarche s’apparente à celle des séries graphiques avec la différence notable que la progression peut se dérouler horizontalement et/ou verticalement.





Les tests de déduction évaluent plusieurs capacités : l'attention, la concentration et la déduction... Cette dernière est extrêmement importante, elle permet de prendre des décisions, en appliquant la critique, et déjuger par anticipation. Ils se présentent le plus souvent sous la forme d'énoncés se prêtant à une démarche déductible. Méthodologie Laissez-vous aller à tester toutes les combinaisons possibles, soyez libre d'essayer toutes les possibilités, si vous ne trouvez pas la solution, passez rapidement à l'exercice suivant afin de ne pas créer de résistance. Vous pouvez aussi vous servir d'un support pour écrire toutes les combinaisons. Utilisez le dessin pour vous représenter concrètement la situation. Lisez les énoncés en vous questionnant mentalement et en analysant immédiatement ce que vous lisez, chaque mot a un sens précis dans l'énoncé.

De très nombreux tests d’aptitude proposent des figures géométriques plus ou moins complexes, selon, généralement, une logique de “ suites ”, comme dans le chapitre précédent. Il s’agit d’évaluer les capacités à identifier et à analyser une configuration spatiale qui sont différentes des capacités estimées sur d’autres bases (verbale ou numérique, par exemple). En effet, ici, certains effets culturels et sociaux sont moindres (familiarisation par apprentissage des lettres et des nombres), et les scores que l’on obtient à l’une ou à l’autre de ces formules logiques peuvent être très différents. FIGURES Le principal support de ces tests consiste en figures géométriques. Nous vous proposons plusieurs entraînements sans limite de temps, la meilleure façon nous semblant être, pour ce type de tests, la compréhension complète des logiques en ½uvre plutôt que la rapidité d’exécution. En effet, il n’y a pas de “ calculs ” à réaliser, l’enjeu consistant à percevoir une configuration, ce qui se fait très rapidement dès lors que l’on saisit sa logique de composition.

Il vous est proposé un ensemble de conditions à partir desquelles, par déductions logiques, vous allez pouvoir reconstituer la solution à chaque question posée. On a donc une série « d'acteurs » et une série « d'attributs », et par déductions logiques il convient de retrouver le ou les « attributs » propres à chaque « acteur ». Tout d'abord il convient de lire attentivement l'ensemble des conditions proposées, et ce au moins deux fois. Cette lecture doit vous permettre de lister les « acteurs » et les « attributs ». À ce stade plusieurs approches sont possibles pour progresser par déductions successives. Pour notre part, et chaque fois que cela est possible, nous conseillons de mettre la liste des « attributs » sur une ligne et celle des « acteurs » sur une colonne. Il conviendra alors de mettre des croix dans le tableau rectangulaire quadrillé ainsi obtenu. C'est donc une méthode permettant de visualiser la traduction des éléments du texte proposé.




Plusieurs réponses peuvent parfois convenir.









Dans l'exemple ci-dessous, vous trouverez une ligne de 7 figures de référence. Sous chacune d'elles se trouve un chiffre. Puis, en dessous, vous trouverez 5 lignes de 5 figures. Dans certaines lignes, une ou plusieurs figures sont manquantes. À vous de trouver lesquelles, en vertu d'une loi qui régit l'association des figures.


Actuellement, les tests psychotechniques occupent une place centrale dans la sélection des étudiants en soins infirmiers. En effet, avec l’épreuve de culture générale, ils constituent la seconde et, souvent, la plus difficile porte d’accès à l’épreuve d’admission, c’est-à-dire, l’entretien. L’expérience montre que cette épreuve est celle qui inspire le plus de craintes, probablement en raison du mystère quelle recouvre. En effet, pour les candidats, elle représente l’inconnu. Il est difficile de s’y préparer parce quelle évalue davantage une intelligence générale que des connaissances.

Ces tests ont comme objectif d'évaluer votre aptitude à raisonner logiquement autour de nombres, seuls ou associés à des lettres. La plupart des exercices concernent le calcul d'un pourcentage, d'une règle de trois et utilisent les tables de multiplications. Ce ne sont pas des opérations complexes qui vous sont demandées, ne vous crispez pas dès le début de l'épreuve surtout si vous pensez être depuis toujours « nul en maths » ! Découvrez au contraire les exercices avec enthousiasme. Les autres exercices sont des suites logiques que vous devez compléter. Méthodologie Les suites logiques exigent une disponibilité totale de votre esprit, vous devez retrouver l'aspect créatif de votre personnalité, celui qui vous permet de trouver des solutions à des problèmes qui peuvent paraître insolubles. Soyez libre d'imaginer sur votre brouillon toutes les possibilités de réponse, écrivez les nombres qui viennent immédiatement après la lecture du texte, retournez-les en tous sens ! Stimulez l'hémisphère gauche de votre cerveau (celui qui vous aide à être imaginatif) mais sans oublier l'hémisphère droit qui vous rappelle que les tests sont à effectuer dans un laps de temps donné. Ne revenez que rarement sur un résultat dont vous n'êtes pas très sûr, cela vous induirait en erreur et vous perturberait inutilement ou faites-le uniquement à la fin de la série des tests. Ne vous acharnez jamais à vouloir répondre à un exercice qui vous semble difficile, vous n'êtes pas là pour gagner un record mais pour réussir une épreuve, c'est différent. Les réponses sont souvent banales et simples mais toujours logiques, ne compliquez pas votre raisonnement. Lisez l'exercice... Réfléchissez tranquillement aux combinaisons possibles... Vous ne trouvez pas ? Passez à l'exercice suivant, vous y reviendrez plus tard !



Durée de l'exercice: dix minutes Ce premier exercice regroupe des suites de figures géométriques. Il convient de déterminer la logique qui régit les déplacements de chaque signe d'une figure à l'autre afin de choisir, parmi les cinq figures numérotées, celle qui continue la série.

Durée de l'exercice : cinq minutes Les exercices présentés au cours de ce test s'appuient sur la déduction à partir d'une logique d'organisation d'éléments dans l'espace. Ce test est divisé en deux parties. Les séries de 1 à 5 s'inspirent du progressive matrice. Chaque série comporte huit figures réparties sur trois lignes. Seule la troisième ligne est incomplète. Le candidat doit choisir la figure manquante parmi les figures numérotées situées dans la partie inférieure de la planche.

Durée de l'exercice: dix minutes (réponses page227) Ce test regroupe dix problèmes se présentant sous la forme de cartes à jouer. Ces cartes sont placées dans un ordre logique que le candidat doit déterminer pour en déduire la couleur (coeur, carreau, trèfle ou pique) et la valeur (as, un, deux, trois ... ) de la carte manquante qui complète la série.

Cette épreuve n’est pas seulement un test de connaissance du vocabulaire, de culture générale mais un test qui s’intéresse également à la généralisation à partir d’un concept. Il faut à partir d’une série de mots comprendre ce qui les unit et trouver celui qui ne fait pas partie du groupe, l’intrus. Par exemple dans la série : poire, châtaigne, champignon, prunelle, noisette, on trouve des végétaux qui apparaissent à l’automne; mais en y regardant de plus près, on s’aperçoit que quatre d’entre eux poussent sur les arbres alors qu’un seul pousse sur le sol, le champignon. C’est donc lui l’intrus. Vous devez procéder de la même façon avec chacune des séries suivantes.





Les aptitudes numériques, la capacité à s'organiser sont des facultés intellectuel¬les, mobilisées quotidiennement dans la mise en oeuvre des pratiques de soins. Elles sont développées tout au long de l'apprentissage scolaire et adaptées au cours de la formation en institut à des situations professionnelles. Les tests vont permettre de mesurer la rapidité avec laquelle vous êtes capable d'effectuer un calcul simple, mettant en évidence les connaissances préalables telles les opérations numériques, multiplication, division, indispensables à détenir avant votre entrée en formation. La capacité à s'organiser dans le temps et l'espace permet d'évaluer votre traitement Logique de sources d'informations différentes.







Ces épreuves sont variées et presque toujours présentes sous une forme ou une autre. Nous vous proposons ci-après les principales formes que vous pourrez rencontrer. Il faut néanmoins savoir que contrairement aux épreuves logico-mathématiques que nous venons de voir, ces tests nécessitent un bagage culturel et une assez bonne pratique de la langue française. Au-delà de l’entraînement que nous vous proposons, vous devrez poursuivre votre préparation par la lecture d’ouvrages scolaires et de culture générale, de journaux et par la consultation spontanée du dictionnaire. Nous n’aborderons pas ici les études de texte qui sont à notre avis à inclure dans les parties d’examens scolaires. Ces textes suivis de questions qui mesurent la compréhension verbale ressemblent trop aux épreuves de français ou de culture générale pour que nous puissions les inclure aux tests. Sachez néanmoins que certaines écoles le font. Pour cette préparation spécifique reportez vous à l’ouvrage de J. Gassier «l’épreuve de culture générale » aux éditions Masson.















Indiquez par la lettre correspondante la signification la plus appropriée pour définir les énoncés (ou les mots) qui suivent.






Ces tests se présentent sous la forme d'une série de cartes à jouer disposées dans l'espace, le plus souvent en rectangle, en pyramide, en étoile ... Parmi les cartes, il y en a une ou deux inconnues, symbolisées par un point d'interrogation ou le verso de la carte. Le but du test est de retrouver la logique liant les cartes entre elles et de découvrir les cartes manquantes. Il y a deux éléments à prendre en compte dans une carte : sa valeur et sa couleur. Les logiques liant les cartes sont souvent les mêmes que celles qui lient les dominos. Résumons-les. Vous pouvez rencontrer : • des suites croissantes ou décroissantes, en ligne, en colonnes, en diagonale, en zigzag ; • des opérations : additions, soustractions, multiplications en colonnes ou en lignes ; • des symétries centrales ou axiales ; • des logiques de répartition des cartes (par exemple, sur chaque colonne les trois mêmes cartes).



Ces tests se présentent sous la forme d'une série de dominos disposés de diverses manières. Le but du test est simple : sur un des dominos, il y a un ou deux points d'interrogation signifiant qu'il faut retrouver la valeur de ces carrés. Vous devez identifier la logique de la disposition des dominos pour identifier l'élément manquant.


































Plusieurs réponses possibles.





Tumeur maligne caractérisée par la prolifération anarchique des cellules d’un tissu, d’un organe. Cancer du sein, du foie. Maladie causée par cette tumeur. Souffrir du cancer. FIGURÉ – Ce qui prolifère en détruisant insidieusement son milieu. La criminalité est un cancer qui ronge cette ville. QUÉBEC, FAMILIER – Automobile de mauvaise qualité.


On vous propose une suite de figures géométriques ou de figures graphiques plus ou moins complexes. Vous devez retrouver la logique qui lie les éléments de la suite et la compléter. Les logiques liant des figures géométriques sont extrêmement variées. Voici quelques exemples qui vous permettront de vous familiariser avec ce genre d'exercices : • alternance de figures noires et de figures blanches ; • alternance de figures à l'endroit et à l'envers ; • augmentation ou diminution du nombre des côtés d'une figure géométrique ; • progression de points ou de symboles dans différentes cases d'un quadrillage ...





Le véritable casse-tête de ces exercices n'est pas tant de trouver la solution que de découvrir la question I En effet, les seules instructions données indiquent qu'il faut mettre un chiffre ou une lettre sur les tirets, mais comment? pourquoi? selon quelle logique? En fait, la seule constante qu'on retrouve dans tout le test est que la question comporte un exemple avec sa solution ; vous devez vous en inspirer pour appliquer sa logique particulière au reste de la question (complément qui est souvent imbriqué dans l'exemple même). Une fois que l'on a trouvé ce qu'il faut faire, l'exercice n'est généralement pas bien difficile. Il est donc important de se familiariser avec le type de question qui risque d'être posée.
