Linguistique. Sémiotique

Barthes R., Mythologies, coll. « Points Essais », éd. Seuil, 1990.

Eco U., Sémiotique et philosophie du langage, coll. « Quadrige >>, éd. PUF, 2006.

Floch J .-M., Sémiotique, marketing et communication : sous les signes, les stratégies, coll. << Formes sémiotiques >>, éd. PUF, 2002.

SwiGGERS P., Histoire de la pensée linguistique, coll. << Linguistique nouvelle », éd. PUF, 1997.

Sociolinguistique

Achard P., La Sociologie du langage, coll. << Que sais-je ? >>, éd. PUF, 1993.

Bourdieu P., Ce que parler veut dire, coll. << Sciences humaines >>, éd. Fayard, 1996.

quizQuestions du QCM

  • 1 La linguistique ; la sémiotique. La sémiotique (science des signes) est née au début du xxe siècle. Ses deux fondateurs sont... (deux réponses)
  • 2 La linguistique ; le signe. Un signe a deux versants : un signifié qui renvoie à l’idée ou à l’objet représentés et un signifiant qui ...
  • 3 La linguistique ; la sémiologie. Le plus médiatisé des sémiologues est aussi un écrivain, auteur de plusieurs romans à succès qui mêlent ésotérisme, humour et enquête policière, par exemple Le Nom de la Rose (1980) et Le Pendule de Foucault (1988). Le nom de ce professeur de l’université de Bologne (Italie) est...
  • 4 La sociolinguistique ou sociologie du langage. La sociolinguistique étudie les différentes façons de parler selon les milieux sociaux et les contextes. Pour connaître une langue, il ne suffit pas d’en maîtriser les règles grammaticales (compétence linguistique), il faut aussi tenir compte des situations de communication (compétence communicative). En outre, il faut prendre conscience que la langue n’a pas pour seule fonction sociale la communication, mais qu’elle possède également des fonctions liées à la distinction et la hiérarchisation sociale. On considère généralement qu’il existe trois registres (ou niveaux) de langage différents selon les situations et les milieux sociaux. Lesquels ? (trois réponses}
  • 5 La linguistique ; la pragmatique. La pragmatique est l’étude de l’usage du langage. La fonction du langage n’est pas seulement de dire le vrai ou le faux, mais aussi de constituer une action finalisée, d’agir sur le destinataire (cf. le titre de l’ouvrage Quand dire, c’est faire, de Austin, 1962). Tout énoncé, même le plus ordinaire, le plus descriptif, peut être considéré du point de vue de l’action qu’il contient. On appelle << acte de langage » ce qui constitue l’intention profonde d’un énoncé. Cela entraîne que... (trois réponses)
  • + 3 questions